mercredi 18 novembre 2020

Les Attaques De La Boulangerie de l’auteur japonais Haruki Murakami: la correction de la malédiction

Les Attaques De La Boulangerie de l’auteur japonais Haruki Murakami sont deux nouvelles : L’attaque de la boulangerie (1981) et la seconde attaque de la boulangerie (1985). La traduction française est apparue en 2012. Le total de pages est de 73.

Deux compagnons ont réussis à avoir du pain sans payer ni recourir à la force. Alors c'était une injustice, un déséquilibre, une malédiction. Il fallait rétablir l'équilibre par une attaque de force pour une quantité de pain!

L’attaque de la boulangerie

Deux compagnons avaient une faim qui grandissait jour après jour jusqu’à devenir « un néant sans limites ». Ils n’avaient pas d’argent car ils manquaient d’imagination. En conséquence, ils cherchaient à s’adonner au mal. En fait, c’était le mal qui s’exprimait à travers la faim.

Ils entrèrent dans la boulangerie munis de deux couteaux cachés. Ils réclamèrent du pain au patron qui était un communiste. Alors il accepta de leur donner du pain en échange d’écouter la musique de Wagner dans la boulangerie. De retour chez eux, ils étaient apaisés et leur imagination se mit à rouler.

La seconde attaque de la boulangerie

Le couple dans leur appartement est pris par une faim particulière, la nuit. L'homme avait l’impression d’un gouffre derrière son plexus solaire, le sentiment que le vide existait. Alors il s’est rappelé de l’attaque de la boulangerie et en parla à sa femme.

Il expliqua que ça n’avait pas à cent pour cent marché car ils n’avaient pas pris le pain de force. En effet, le patron était un fou de musique classique, et donc il leur avait donné du pain en échange d’écouter un morceau de Wagner.

Toutefois, il pensait qu’il fallait exécuter le plan initial, avec les couteaux ! Après cette attaque il avait poursuivit ses études et s’est marié. On sentait qu’il y avait une grande erreur, une malédiction !

La solution était de faire à nouveau une attaque de boulangerie dans cette nuit-là. Ils sortirent à deux heures et demie du matin, équipés d’un pistolet, cherchant une boulangerie ouverte. Ils décidèrent de braquer McDonald’s. Sous menace de pistolet ils demandèrent trente Big Mac. Ils en mangèrent dix.

Alors le volcan qu’il voyait auparavant sous l’eau claire disparut !

 

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