Les Attaques De La Boulangerie de l’auteur japonais Haruki Murakami sont deux nouvelles : L’attaque de la boulangerie (1981) et la seconde attaque de la boulangerie (1985). La traduction française est apparue en 2012. Le total de pages est de 73.
Deux compagnons ont réussis à avoir du pain sans payer ni recourir à la force. Alors c'était une injustice, un déséquilibre, une malédiction. Il fallait rétablir l'équilibre par une attaque de force pour une quantité de pain!
L’attaque de la boulangerie
Deux compagnons avaient une faim
qui grandissait jour après jour jusqu’à devenir « un néant sans limites ». Ils n’avaient pas d’argent car ils manquaient d’imagination. En conséquence,
ils cherchaient à s’adonner au mal. En fait, c’était le mal qui s’exprimait à
travers la faim.
Ils entrèrent dans
la boulangerie munis de deux couteaux cachés. Ils réclamèrent du pain au patron
qui était un communiste. Alors il accepta de leur donner du pain en échange d’écouter la musique de Wagner dans la boulangerie. De retour
chez eux, ils étaient apaisés et leur imagination se mit à rouler.
La seconde attaque de la boulangerie
Le couple dans leur
appartement est pris par une faim particulière, la nuit. L'homme avait l’impression d’un gouffre derrière
son plexus solaire, le sentiment que le vide existait. Alors il s’est rappelé
de l’attaque de la boulangerie et en parla à sa femme.
Il expliqua que ça n’avait
pas à cent pour cent marché car ils n’avaient pas pris le pain de force. En effet,
le patron était un fou de musique classique, et donc il leur avait donné du
pain en échange d’écouter un morceau de Wagner.
Toutefois, il pensait qu’il fallait exécuter le
plan initial, avec les couteaux ! Après cette attaque il avait poursuivit
ses études et s’est marié. On sentait qu’il y avait une grande erreur, une
malédiction !
La solution était de
faire à nouveau une attaque de boulangerie dans cette nuit-là. Ils sortirent à
deux heures et demie du matin, équipés d’un pistolet, cherchant une boulangerie
ouverte. Ils décidèrent de braquer McDonald’s. Sous menace de pistolet ils
demandèrent trente Big Mac. Ils en mangèrent dix.
Alors le volcan qu’il
voyait auparavant sous l’eau claire disparut !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire