L’attaque Du Moulin d’Emile Zola est un court récit paru pour la première fois en 1880. Le
livre compte 159 pages regroupant L’attaque Du Moulin et Les Quatre Journées De
Jean Gourdon. Ce sont des récits simples comportant de très beaux passages
descriptifs de la mère nature. Il y a deux thèmes en commun : l’amour et
la guerre.
L’attaque Du Moulin
Au village
de Rocreuse à Lorraine, le moulin du père Merlier était en fête : il
devait fiancer sa fille Françoise avec Dominique. Le soir où le père Merlier a annoncé le mariage de sa fille dans un
mois, un vieux paysan déclara que l’empereur a annoncé la guerre à la Prusse
(Allemagne). Après un mois les prussiens s’avançaient vers le village. Alors
les soldats sont venus se préparant à se battre et le père Merlier annonça
qu’il ne mariera pas sa fille au jour prévu. En effet les soldats campaient
dans la cour du moulin.
Une
fusillade continua entre les soldats français et les prussiens. Les deux
fiancés étaient cloués par l’anxiété du spectacle. Le moulin fut criblé de
balles. Aussi il y a eu des morts et des blessés. Dominique aussi se mit à
tirer des coups de feu bien visés contre les prussiens.
Soudainement
les prussiens entrèrent et prirent Dominique en otage. Ensuite l’officier
annonça qu’il sera fusillé. Les prussiens campèrent dans la cour.
Françoise a
réussi à pénétrer, par la fenêtre, la chambre de détention de son fiancé. Ainsi
elle lui expliqua un petit plan pour s’en fuir qu’il exécuta. Le lendemain
l’officier réclama à Françoise de trouver Dominique sinon il tuera son père.
Elle le trouva, mais elle revint seule et Dominique apparut guidé par une
tierce personne. Il fut tué par des balles.
Juste après,
les français arrivèrent et l’attaque du moulin se faisait maintenant par
des français. La bataille entraina de sérieux dégâts et le père Merlier
murut.
Les Quatre Journées De Jean Gourdon
Le
narrateur, Jean, après la mort de sa mère, occupait une chambre chez son oncle
Lazare, curé du hameau de Dourgues. Il aimait la rivière où il attendait le passage de Babet, la grande fille brune. Il
la vit balançant ses jupes. Mais l’oncle les vit ensemble et se fâcha. Il lui
expliqua les bienfaits de la nature environnante qu’il aimait tant. Ensuite
Jean partit faire la guerre au grade de sergent.
« A chaque soldat qui tombait, je faisais un pas de plus vers la mort, je me rapprochais de l’endroit où les boulets ronflaient sourdement, écrasant les hommes dont le tour était venu de mourir »
Jean fut
blessé au milieu d’un tas de cadavres. Pourtant il a réussit à lire la lettre
de son oncle. Il vit le colonel blessé sur le champ de la bataille alors il eut
de la force :
« Je me sentais tout autre depuis que nous étions deux à lutter contre la mort ».
Ainsi, ensemble ils avancèrent difficilement pour atteindre l’ambulance (hôpital
militaire mobile).
Quinze ans
se sont passés depuis son mariage avec Babet, il devint un riche cultivateur. Il y avait un bonheur continu. Toutefois
Babet était stérile. Un jour son oncle lui expliqua :
« Les feuilles vertes renaissent chaque année des feuilles sèches ; moi, je renais en toi, et toi, tu renais dans tes enfants. Je te dis cela pour que la vieillesse ne t’effraie pas, pour que tu saches mourir en paix».
Jean sentait
que ses vignes, débordantes de vie, étaient ses enfants. Les trois, Babet, Jean
et oncle Lazare connurent la joie de l’enfantement quand Babet accoucha d’un
garçon, Jacques. Mais, le même jour,
oncle Lazare mourut.
A dix huit ans Jacques était un brave paysan. Sa sœur Marie avait dix ans.
« Nos enfants nous rendaient notre jeunesse ».
Jean était content de voir son
fils prendre bien la relève dans le travail des champs.
Pendant la
fente de la neige, l’inondation était importante et a emporté les bêtes et la
domestique ! Un toit d’un hangar effondré leur servit de radeau et ils
quittèrent la maison. La vallée était devenue fleuve. Ainsi ils devaient se
battre contre la rivière. Quel était leur sort ? Découvrez-le.
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