L’homme Qui Plantait Des Arbres de Jean Giono est
une nouvelle qui raconte l’histoire d’un berger qui a fait rejaillir la vie dans
hameau désertique en plantant des arbres. C’était en 1913 quand le narrateur se
rendit à un village abandonné dans la région des Alpes. Il rencontra un berger
solitaire qui prenait soin de planter des chênes et des hêtres.
Après la guerre de quatorze, les arbres
devenaient grands et s’étendaient sur des kilomètres. Tout provenait des mains et de l’âme de cet homme. Ensuite la forêt naissante devint protégée
par l’Etat. Même au cours de la deuxième guerre mondiale, le vieux berger
continuait ses plantations d’arbres. En 1945, le village qui était abandonné
devint resplendissant de vie, l’eau ruisselait et les habitants devenaient plus
nombreux.
La personnalité de l’homme qui plantait des arbres
Ellzéard Bouffier était un berger solitaire qui avait perdu
sa femme et son fils unique. Il avait cinquante-cinq ans quand le narrateur
l’avait vu pour la première fois en 1913. Donc il vivait seul avec ses moutons
et son chien. Il parlait très peu et se
concentrait dans sa tâche : planter des
arbres. Il était très sûr de lui. En plus, son travail lui donnait une santé
solennelle, et c’était son moyen d’être heureux.
Un berger seul et solitaire fait surgir tout un village à partir d’un désert
Dans la région des Alpes, le narrateur se trouvait dans un
village abandonné sans signe de vie. Il trouva un berger accompagné d’une
trentaine de mouton et un chien. Il l’emmena à sa maison en pierres, lui donna
à boire, partagea avec lui sa soupe et passa la nuit.
Le contact avec ce berger, solitaire et silencieux, donnait
de la paix si bien qu’il lui demanda de rester le lendemain chez lui. Alors il l’aperçut
entrain de planter des chênes en faisant un trou avec un fer et y mettant un
gland. Il avait trouvé que ce pays manquait d’arbres alors il
voulait y remédier. Il s’était résolu à prendre plaisir à vivre seul avec
son pâturage et à planter des arbres.
L’année suivante, le narrateur fut engagé pendant cinq ans
dans la guerre de 14. Mais l’homme qui plantait des arbres était toujours là,
il s’était débarrassé de ses moutons pour protéger ses arbres. Il avait des
ruches et il y avait 1910 chênes plus hauts que lui. Les hêtres arrivaient aux
épaules.
En plus, en redescendant vers le village, le narrateur
aperçut de l’eau couler dans des ruisseaux, ainsi que des osiers et des prés !
Ainsi, à partir de 1920, il prenait l’habitude de rendre visite à Elzéard
chaque année. En 1933, ce berger envisageait de planter des hêtres à douze
kilomètres de sa maison. Et pour cela, il construisit une cabane de pierre sur
les lieux. Après deux ans, une délégation
vint pour voir la forêt, et elle fut protégée par l’Etat. A vingt kilomètres du
lieu de l’inspection, on contemplait des arbres de six à sept mètres de haut
dans un endroit qui était désertique en 1913.
En 1945, l’homme qui plantait des arbres avait
quatre-vingt sept ans. Le narrateur
débarqua à Vergons et ce n’était plus le hameau misérable où vivaient
trois personnes comme dans la préhistoire. Désormais, le hameau contait vingt-huit habitants et les maisons
étaient entourées de jardins. Aussi, les champs
d’orge et de seigle étaient là, et les prairies verdoyaient. La vie était heureuse et confortable.
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