mercredi 12 février 2020

L’homme Qui Plantait Des Arbres de Jean Giono : un homme solitaire fait rejaillir la vie


L’homme Qui Plantait Des Arbres de Jean Giono est une nouvelle qui raconte l’histoire d’un berger qui a fait rejaillir la vie dans hameau désertique en plantant des arbres. C’était en 1913 quand le narrateur se rendit à un village abandonné dans la région des Alpes. Il rencontra un berger solitaire qui prenait soin de planter des chênes et des hêtres. Après  la guerre de quatorze, les arbres devenaient grands et s’étendaient sur des kilomètres. Tout provenait des mains et de l’âme de cet homme. Ensuite la forêt naissante devint protégée par l’Etat. Même au cours de la deuxième guerre mondiale, le vieux berger continuait ses plantations d’arbres. En 1945, le village qui était abandonné devint resplendissant de vie, l’eau ruisselait et les habitants devenaient plus nombreux.

La personnalité de l’homme qui plantait des arbres

Ellzéard Bouffier était un berger solitaire qui avait perdu sa femme et son fils unique. Il avait cinquante-cinq ans quand le narrateur l’avait vu pour la première fois en 1913. Donc il vivait seul avec ses moutons et son chien. Il parlait très peu et se concentrait dans sa tâche : planter des arbres. Il était très sûr de lui. En plus, son travail lui donnait une santé solennelle, et c’était son moyen d’être heureux.

Un berger seul et solitaire fait surgir tout un village à partir d’un désert

Dans la région des Alpes, le narrateur se trouvait dans un village abandonné sans signe de vie. Il trouva un berger accompagné d’une trentaine de mouton et un chien. Il l’emmena à sa maison en pierres, lui donna à boire, partagea avec lui sa soupe et passa la nuit.
Le contact avec ce berger, solitaire et silencieux, donnait de la paix si bien qu’il lui demanda de rester le lendemain chez lui. Alors il l’aperçut entrain de planter des chênes en faisant un trou avec un fer et y mettant un gland. Il avait trouvé que ce pays manquait d’arbres alors il voulait y remédier. Il s’était résolu à prendre plaisir à vivre seul avec son pâturage et à planter des arbres.

L’année suivante, le narrateur fut engagé pendant cinq ans dans la guerre de 14. Mais l’homme qui plantait des arbres était toujours là, il s’était débarrassé de ses moutons pour protéger ses arbres. Il avait des ruches et il y avait 1910 chênes plus hauts que lui. Les hêtres arrivaient aux épaules.
En plus, en redescendant vers le village, le narrateur aperçut de l’eau couler dans des ruisseaux, ainsi que des osiers et des prés ! Ainsi, à partir de 1920, il prenait l’habitude de rendre visite à Elzéard chaque année. En 1933, ce berger envisageait de planter des hêtres à douze kilomètres de sa maison. Et pour cela, il construisit une cabane de pierre sur les lieux. Après deux ans, une délégation vint pour voir la forêt, et elle fut protégée par l’Etat. A vingt kilomètres du lieu de l’inspection, on contemplait des arbres de six à sept mètres de haut dans un endroit qui était désertique en 1913.

En 1945, l’homme qui plantait des arbres avait quatre-vingt sept ans.  Le narrateur débarqua à Vergons et ce n’était plus le hameau misérable où vivaient trois personnes comme dans la préhistoire. Désormais, le hameau contait vingt-huit habitants et les maisons étaient  entourées de jardins. Aussi, les champs d’orge et de seigle étaient là, et les prairies verdoyaient. La vie était heureuse et confortable. 



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